Hayley Xavier [acceptée]

VOTRE PERSO :


Nom : Xavier

Prénom : Hayley

Age : 16 ans

Caractère : -Hayley? Ma fille? Son caractère?
-Oui, oui tu as bien compris Shawn Xavier, je parle de ta fille, comment est-elle?
-Tu en poses des drôles de questions toi… ma fille, mon petit poussin. Comment dirais-je? Elle a une de ces personnalités changeantes. Un jour elle a un sale caractère, une vraie petite gamine entêtée. Elle est souvent méfiance, distante, à dire froide mais pourtant son sourire chaleureux nous donne l’impression qu’elle nous aime bien. D’autres jours, c’est un ange, un air un peu gêné, très malléable… euh..
-Quoi, qu’est-ce que tu dis?
-Agréable! Pardon ma langue à fourché, bon où en étais-je? Ah oui, une drôle de gamine. Elle a ce petit côté naïf, charmant, très charmant... Se qu’elle aime surtout ce son les défis, lance lui s’en un et c’est presque si elle n’irait pas sauter en bas du pont pour le relever! Seulement, depuis la mort d’un de nos proches. Hayley est très sur la défensive, prête à répliquer… quelque chose que je finirais par briser!


Physique : -Xavier?! Ma Xavier?
- Oui Liang, ta Xavier. Hayley!
-Tu ne l’as jamais vue? Attends je vais te la décrire elle est immanquable! Déjà premièrement elle est d’origine québécoise! Donc tu ne verras pas beaucoup de trait asiatique en elle. Sa peau est blanche pratiquement comme neige, le contraste est fou avec la couleur de ses cheveux ébène! C’est à la fois effrayant et envoutant…
- Euh Liang… réveille, tu dors?
- Hein quoi? Ah oui désolé j’étais perdue dans mes pensées! Xavier, c’est ça! Oh et ses yeux! Tu as vu ses yeux? Non bien sûr que non tu ne l’as jamais vue c’est pour je te l’a décrit! Ses yeux sont gris! Un gris profond très clair presque blanc, ça lui donne un petit air animal. Souvent on voit un petit voile de tristesse dans ses yeux, c’est presque contagieux, mais ça change souvent pour un air plutôt farouche! Tout un caractère quand elle le veut tu peut me croire! Elle environ grande comme ça, 5p6 je te dirais. Écoute, pas possible de la manquer il n’y en a pas deux comme elle.


Histoire : Je rêve, je le sais, j’en suis sur. Je ne sais pas tout à fait si c’est un cauchemar ou un rêve, mais il est sûr que je ne suis pas dans la réalité. Je flotte dans les airs telle une plume, quelle agréable sensation. Les images sont floues autour de moi, aucune importance je n’ai aucune envie de voir qu’est-ce qui se passe autour de moi. Je suis libre, je vole, je flotte, je me sens bien pour une fois. Je vois bien que je dors, mais malgré tout je me sens en sécurité dans mon monde. Des couleurs de tous les tons défilent sous mes yeux, j’en souris, je trouve ça même drôle, on pourrait parier que je suis dans les vapes sous les effets d’une drogue quelqu’une, mais ce n’est pas le cas, je dors, je rêve…

Le monde bascule autour de moi, tout s’effrite, je tombe dans un puits sans fin, je tombe encore je vois bien que rien n’arrêtera ma chute, alors je me détends et regarde devant moi. Une première image prend forme devant moi, mon frère, Hayden. Mes traits s’adoucirent. Je tends la main en essayant de prendre celle de mon frère, mais il ne bouge pas, il me regarde, me fixe, il me fait froid dans le dos. Un froid m’asseye, j’en frissonne. Hayden est dans la neige, au sommet d’une montagne pour être plus exacte. Il est accompagné de sa planche à neige, bien sûr mon frère sans sa planche à neige c’est impossible, un champion comme lui. En un laps de seconde, je le vois dévaler la pente à toute allure. Il est seul. Là-haut au sommet d’une montagne où tout peut arriver, où le risque est bien trop présent et où la mort vous rôde autour. L’image change radicalement. Je vois clairement Hayden, mais seulement quelques secondes avant qu’il ne fasse écraser par l’avalanche qui le pourchassait. Malgré son talent, malgré le fait qu’il ne méritait rien de la sorte, quand je n’avais que 13 ans, la montagne eu raison de mon grand frère, elle me combla d’un vide.

Je me demande si je pleure, peut-être, peut-on pleurer dans un rêve? Même si les images que je vois sont bien réelles…

Le monde bascule de nouveau, j’en prends le vertige. À présent je vois ma mère. Elle me regarde froidement ou non plutôt, sans vie. Son regard est vide de sens, vide de vie, vide d’âme. Elle lève la main vers moi et me pointe d’un air accusateur. Mon cœur chavire. Elle souffle des mots sans sens, sûrement des accusations, contre quoi, contre moi? Jamais je ne comprendrais, je n’ai pas tué mon frère… une deuxième image survient, c’est encore ma mère, mais seulement cette fois-ci elle est en chaise roulante. Ses yeux fixent le jardin extérieur. Elle est dans sa demeure, là bas au loin, dans mon chez-moi d’origine, Québec. Elle se balance d’un côté et d’un autre chantonnant une petite berceuse. Elle est pâle, semble faible. Les murs blancs autour d’elle me rendent malade, le cœur me lève. Une dame en blanc s’approche d’elle et la traite comme un bébé, comme un tube sans vie, sans raison, ni intelligence. Une âme malade, un corps mutilé voilà se qui reste de ma mère par la suite de la mort de mon frère.
Je m’attends à voir une nouvelle scène d’horreur, mais rien. Je sens mes yeux s’ouvrir doucement. Pourtant, il n’est pas l’heure de se réveiller. C’est au moment où je sens une main frôler ma nuque que je comprends que j’ai été réveillé. Je ferme les yeux rapidement et sers les poings. Il y a quelqu’un à côté de moi, dans mon lit. Sa main d’homme me flatte les cheveux, en suite le cou, puis le bras. Je frissonne, non pas par plaisir, mais par horreur. L’homme me force à me retourner pour que je sois face à lui. J’ouvre les yeux avec peine pour plonger mes yeux dans son gris regard dont lequel j’ai hérité.

- Ma chérie, mon ange, ma fille… souffla mon père.

Il s’approche de moi. Je suis sans défense, je ne suis qu’une enfant après tout. Je m’appelle Hayley Xavier, j’ai 16 ans, je suis originaire de Québec bien que j’habite le Japon avec mon père, je suis une ancienne championne de ma génération en snowboard, qui a quitté son milieu avec la mort de mon frère ainé et de la démence de ma mère.


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Pourquoi le Japon? Je n’en ai aucune idée, peut-être pour être à l’autre bout du monde, c’est d’ailleurs le cas de le dire. On a changé de ville, de pays, de ville, de continent… Mon père voulait d’un départ à zéro avec moi, tout recommencé du début, oublier l’ancienne vie, aller jusqu’à oublier notre ancienne famille, oublier que j’avais un frère et une mère. Je crois que mon père me déteste autant qu’il m’aime. Peu importe pour lui si je souffre, tant qu’il me montre qu’il m’aime. J’aimerai qu’il me déteste plus et qu’il m’aime moins. J’aurai préféré n’être qu’un fardeau pour lui plutôt qu’une poupée avec laquelle jouer. Près de lui je me sens faible, loin de lui je me sens perdue.

Ça fait 5 ans que ça dure. Je crois… je crois que c’est pour sa que ma mère avait se ton accusateur avant auprès de moi… elle m’accusait parce que mon père m’aimait plus qu’il ne l’aimait, son attention était portée vers moi d’une façon ou d’une autre. Si elle avait su à quel point j’aurai tout fait pour reporter toute cette attention vers elle plutôt que vers moi…

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midi moins quatre

Stupide horloge sonne. C’est la crise totale, je veux sortir d’ici. J’étouffe, je me consume, j’en meurs. Je veux sortir d’ici. Le professeur à l’air d’un attardé en gesticulant de la sorte, non plutôt un babouin, oui exactement ça. Je regarde autour de moi. Je déteste cet endroit même si je l’aime bien en même temps. C’est une prison comme un refuge. Les gens se ressemblent tous avec cet uniforme à la noix. Chemise blanche, cravate, jupe bleu et noir pour les filles et pantalon noir pour les gars. Sexisme, je ne peux même pas mettre de pantalon. Je déteste ces jupes de petite fille sage. Je dessers la cravate, qui d’ailleurs était déjà pratiquement complètement desserrée, mais on dirait toujours qu’elle veut m’étrangler!! Bon d’accord je fais un peu parano là…

midi moins une

Oh allé viens pas me faire – censure- stp! Je tape sur mon cahier avec un crayon. Le bruit me stresse encore plus, justement il ne semble pas juste me stresser moi. Le regard sévère des autres m’oblige à lâcher un pardon silencieux et d’arrêter.

Drrrriiiinnnggg

- ENFIN! criai-je en me levant soudainement.

Ma réaction fut accueillie par d’autres regards sévères. Eh oh on se calme. Je prends mes cahiers et pars en marche rapide. En chemin je bouscule plusieurs personnes sans trop m’en soucier, ce n’est pas ça qui va gâcher leur journée! Et puis je suis pressée… pressé de sortir de ces murs!

Enfin! l’air libre! mon corps se décompresse. Avoir pu , je crois que je serais étendue par terre et dormi. La tête veut m’exploser. D'ailleurs, je ne suis pas très bien là. Ça tourne autour de moi wow....

- Xavier! Eh Xavier! Ici! non pas à droit à ta gauche la grande!

Je tourne la tête vers la voix qui m’est familière, Xavier c’est mon nom de famille, mais aussi mon surnom, étrange, mais vrai. Liang. Elle court vers moi et se jette dans mes bras.

- Dit tu marches vite! Je t’ai vue bousculer du monde dans les couloirs et partir comme si tétais poursuivi! Waa! hey tu es toute pâle tu sais?

Elle s’accroche à moi en me faisant un gros sourire. Une vraie boule d’énergie…

- Un p’tit malaise rien de gros.

Avant même que je puisse dire un autre mot, je sens quelqu’un passer son bras autour de mes épaules. Pas une fille sa je le sens. Vivement je me pousse sur le côté en jetant un regard paniqué vers le gars qui m’a touché.

- Hey tout doux Hayley, c’est juste moi, Tom.

Je tremble, de tout mon être. Je ne supporte pas qu’un homme puisse me toucher. Sentir ses bras, ses mains, sa peau contre moi. J’ai le haut de cœur.

- J-je suis désolée Tom… tu m’as prise par surprise…
- Euh bon, lâcha Liang un peu mal à l’aise. Dit Xavier tu vient chez moi ce soir non?
- Je… je verrais bien… je de dois partir!

Je pars d’un pas mal assuré. Ça m’énerve… ça m’énerve d’avoir l’air si faible, si petite auprès des autres, si maladroite. Je connais Tom depuis mon arrivée au Japon et pourtant je n’arrive toujours pas à le laisser me frôler, ça me tue.

J’arrive chez moi 30 minutes plus tard. La maison est vide, soulagement. Je jette mon sac dans le salon et me rends dans ma chambre histoire de me changer. Des jeans, une ceinture carotter noir et blanc, un chandail style « skate » et mon bandana dans le cou noir et or. Enfant un peu du Québec avec moi, enfin des vêtements plus appropriés aussi! Je dévale les marches et attrape une veste au passage. Dehors, je regarde ciel. Gris. Le soleil tente de passer au travers le plafond de nuage, mais sans succès, de simples petits filets réussissent à montrer un peu de leur éclat. Une journée bien sombre… une autre journée sans ma famille… Une voiture rentre se stationne en face de la maison. Un homme sort. Noir costard, sombre allure, regard ténébreux d’un gris pâle. Mon père. Il lève les yeux vers moi. Frisson. À chaque fois qu’il fait ça, je meurs un peu plus.

- Poussin où tu vas?
- Euh, quelque part, je sais pas trop… marcher?
- Je préfère que tu restes à la maison ce soir.

Sa voix me fait trembler, je n’ai pas le droit à la répliquer, mais…

- J’ai besoin d’air, je serais pas trop longue papa…

Il me regarde, aussi sévère qu’il le peut, aussi cruellement qu’il l’est.

- Dans la maison.. Maintenant!
- Écoute p’pa…

Ma phrase n’eut pas droit à une fin. Il s’approcha de moi et prit mon bras avec force. Au même moment la pluie se mise à tomber.

- Tu me fais Mal…

Il ne dit pas un mot. Il tente de me faire rentrer dans la maison de force. Il n’en est pas question. Pas ce soir, j’ai trop peur… Je me débats, le mieux que je peux et c’est suffisant pour échapper à son emprise. Le sol m’accueille de façon violente, en particulier ma tête, sa tourne ici d’dans… J’ouvre les yeux et voit la main de mon père qui s’approche de mon cou, quoi? Il veut m’étrangler peut-être? Je riposte, pas question qu’il me touche. Je prends appui sur son ventre avec mes pieds et pousse au point qu’il bascule. Il se fait vieux le père, la stabilité c’est pas son fort. Je me lève, mon corps tremble, j’ai peur… peur de quoi? Qu’il me batte? Qu’il me touche ou me viole? Non je suis beaucoup trop habitué à ses manières pour en avoir peur. Mais j’ai quand même peur, peur de se que je peux faire, de se que je peux LUI faire, je suis dans mon élan, trop tard, je le déteste, je veux qu’il souffre, qu’il peine à vivre.

…

Qu’est-ce que je fais encore assise là, à côté d’un homme qui est sur le point de s’étouffer avec son propre sang, devrais-je l’aider? Ou m’enfuir? Inutile, je n’ai même plus la force de me lever. J’ai passé toute ma haine et mon énergie sur cet homme que je nommait père et maintenant à cette heure à… 14h34 exactement, cet homme se trouve dans un bien mauvais état. Défoulé, c’est le mot. Coup de pied, coup de poing, injure, cri je les ai tous passé, sur lui, sur la vie qu’il m’a fait supporté. J’entends… j’entends déjà la police qui s’en vient, il vont m’arrêter? Sûrement j’ai presque tuer mon père. Quel voisin à bien put appeler, je me le demande? À quoi bon, je m’en fou, je reviendrais plus ici de toute façon. Partir, loin, loin de lui… svp…

-

Prière entendu me voilà loin de mon père, mais bienvenue l'enfer... Un pensionnat... C'est pas vrai...


Code :[a trouver dans le reglement!] validé

Autres ?: X

Groupe: (Maléfiques,neutres ou démoniaques?) Neutre


VOUS :


Prénom : Frédérique ( beau nom hein? xD (sarcasme total)

Age : 16 ans

Ou avez vous connu le forum ? en cherchant

Autres ?: X

Wohlé!! C'est une grande fiche de présentation dis donc! O_o

Sinon je te souhaite la bienvenue sur le fofow et parmis-nous! ^V^

Bienvenue !

Elle est super t'a fiche !

Welcoume ^^

super fiche tu sais ^^ tu aime écrire je supose nan ?

Trèèèèès jolie fiche =)
Bienvenue =D

Bienvenu à toi , amuse toi bien^^

Merci!

*en retard*

Bienvenue !!